L’éducation est un acte politique qui se vit dans une société singulière et complexe qu’il importe de connaître et de comprendre avec bienveillance et critique, sous le regard de la révélation chrétienne.
On se propose, par une analyse pluridisciplinaire et un éclairage théologique des questions vives de la société de mieux comprendre les évolutions culturelles et sociales en cours.
Le cours d’hébreu est proposé dans le cadre d’un cycle d’initiation. Il accueille, 2h par semaine, des étudiants débutants ou qui ont jusqu’à trois ans d’hébreu.
Les débutants apprendront l’alphabet hébreu, les principes de la lecture, l’écriture et quelques règles élémentaires.
Pour les étudiants plus avancés, nous partirons de l’observation de versets bibliques qui seront un moyen d’évaluer les connaissances grammaticales des étudiants, de réviser les fondamentaux. A chaque cours nous étudierons systématiquement un point de grammaire avec des exercices d’acquisitions à commencer en cours et à terminer à la maison.
La progression sera déterminée en fonction du niveau d’ensemble du groupe constitué.
À travers ce cours, nous allons tenter de démontrer combien l’art n’est pas, au mieux un domaine annexe, et au pire un domaine étranger à la foi, mais un vecteur capital d’expression et de transmission de celle-ci.
L’opinion ne voyant dans l’art qu’une distraction ou un luxe considérera toujours comme arbitraire la sacralisation d’une image ou d’une église. Or, la Bible, si elle condamne les idoles imaginées par les hommes, affirme la possibilité d’un art divinement inspiré.
Nous examinerons le contenu et la forme de l’image, la possibilité des rencontres qu’elle permet avec la transcendance et la place de l’Imagination et de l’Inspiration.
Nous considérerons ensuite le rapport entre l’Art et la Foi et les liens qui s’établissent entre l’art et la théologie.
Puis, il sera temps de considérer les rapports qui existent entre l’art, l’Église et les artistes et de réfléchir aux enjeux de la création contemporaine dans les lieux de culte.
Nous clôturerons ce parcours en nous interrogeant sur le désir de l’homme d’habiter le monde et sur le rôle de l’architecture.
Après une présentation des Psaumes, de leur histoire et de leur importance fondamentale dans la vie du Peuple de Dieu, à toutes les époques du christianisme et du judaïsme, nous prendrons le temps d’étudier plusieurs psaumes, particulièrement représentatifs et fréquemment utilisés dans la liturgie.
Un cours ouvert à tous, et qui peut être utile à celles et ceux qui pratiquent régulièrement la liturgie des heures.
Nous sommes quotidiennement en situation d’écoute , en tant qu’écoutés ou écoutant.
Bien écouter nécessite de renouveler nos connaissances, nos pratiques, nos postures. C’est ce que vous propose cette formation qui alterne apports théoriques et exercices pratiques.
Formation en cinq modules (une 1⁄2 journée chacun, samedi) par une équipe de l’ISTR qui permettent de comprendre les mécanismes de l’écoute, ce qui se passe en soi et en l’autre et d’aborder la dimension pastorale de l’écoute :
Dimension dynamique de l’écoute
Dimension psychologique de l’écoute
Dimension anthropologique et interculturelle de l’écoute
Dimension spirituelle de l’écoute
Dimension pastorale de l’écoute
Cette formation est ouverte à tous.
Sa coloration pastorale peut intéresser particulièrement les acteurs des services diocésains, des paroisses, des mouvements : pastorale de la santé, pastorale des funérailles, aumônerie des prisons, SOS chrétiens, aumônerie du monde scolaire, équipe d’accueil, catéchistes, …
"Questions de vie, questions de foi?" Partant de questions que posent les jeunes et qui interrogent voire heurtent la foi chrétienne, partageant les expériences pastorales et s'appuyant sur la Bible et la ritualité
Le cours d’hébreu est proposé dans le cadre d’un cycle d’initiation. Il accueille, 2h par semaine, des étudiants débutants ou qui ont jusqu’à trois ans d’hébreu.
Les débutants apprendront l’alphabet hébreu, les principes de la lecture, l’écriture et quelques règles élémentaires.
Pour les étudiants plus avancés, nous partirons de l’observation de versets bibliques qui seront un moyen d’évaluer les connaissances grammaticales des étudiants, de réviser les fondamentaux. A chaque cours nous étudierons systématiquement un point de grammaire avec des exercices d’acquisitions à commencer en cours et à terminer à la maison.
La progression sera déterminée en fonction du niveau d’ensemble du groupe constitué.
À travers ce cours, nous allons tenter de démontrer combien l’art n’est pas, au mieux un domaine annexe, et au pire un domaine étranger à la foi, mais un vecteur capital d’expression et de transmission de celle-ci.
L’opinion ne voyant dans l’art qu’une distraction ou un luxe considérera toujours comme arbitraire la sacralisation d’une image ou d’une église. Or, la Bible, si elle condamne les idoles imaginées par les hommes, affirme la possibilité d’un art divinement inspiré.
Nous examinerons le contenu et la forme de l’image, la possibilité des rencontres qu’elle permet avec la transcendance et la place de l’Imagination et de l’Inspiration.
Nous considérerons ensuite le rapport entre l’Art et la Foi et les liens qui s’établissent entre l’art et la théologie.
Puis, il sera temps de considérer les rapports qui existent entre l’art, l’Église et les artistes et de réfléchir aux enjeux de la création contemporaine dans les lieux de culte.
Nous clôturerons ce parcours en nous interrogeant sur le désir de l’homme d’habiter le monde et sur le rôle de l’architecture.
Des courants néo jansénistes, inspirés par le pélagianisme (salut par ses propres forces) réapparaissent dans l’Eglise en France. Des interprétations néo gnostiques (le salut par le savoir) refont surface dans nos pays sécularisés, à la mesure de l’effondrement de la structuration mentale du christianisme. Entre ces idolâtries de la volonté et de l’intelligence, c’est sans doute le discernement de la raison qui est à convoquer pour percevoir l’action de la grâce.
Dans ce cours, nous nous mettrons en quête de repères, à partir de la tradition théologique et des grandes polémiques historiques sur la grâce.
Nous relirons les repères proposés par les lettres de Saint Paul. Nous traverserons l’histoire en nous penchant à nouveaux frais sur la discorde entre protestants et catholiques sur la grâce et les œuvres, de même que sur les documents récents d’entente interconfessionnelle. Puis nous réinterrogerons la tradition mystique afin d’honorer aujourd’hui, au XXIe siècle, la dimension de profondeur. Un théologien protestant conclura par les critères que propose la figure mariale.
Le chamanisme, dans la variété des ses formes, nous attire et nous séduit. Il nous rappelle nos racines… desquelles nous nous sommes coupées en Occident.
Le chamanisme se présente comme une voie de reconnexion à la Nature. Il est aussi une technique d’élargissement de la conscience au moyen de substances psychédéliques, de la rythmique d’un tambour, ou de l’hyperventilation. Le chamane traditionnel voyage ainsi entre les mondes pour y rapporter des informations de guérison au bénéfice de sa collectivité ou d’individus. Le chamane traditionnel est donc aussi un thérapeute.
Mais qu’est-ce qu’apporte la cure chamanique aux thérapies conventionnelles ? En quel sens des plantes, absorbées au cours de diètes, peuvent-elles être considérées comme « enseignantes » ?
La pratique chamanique ouvre à des expériences « non ordinaires » voire « extraordinaires ». Le chamanisme est tout le contraire d’un repli sur soi : l’individu se trouve relié aux mondes animal, végétal, et aux esprits qui peuplent les arrière-mondes invisibles.
Qu’est-ce que les techniques issues du chamanisme apportent-elles à la psychothérapie lorsque ces deux domaines se rencontrent ? Et qu’est-ce que la transe chamanique a à dire aux neurosciences ?
Après une présentation des Psaumes, de leur histoire et de leur importance fondamentale dans la vie du Peuple de Dieu, à toutes les époques du christianisme et du judaïsme, nous prendrons le temps d’étudier plusieurs psaumes, particulièrement représentatifs et fréquemment utilisés dans la liturgie.
Un cours ouvert à tous, et qui peut être utile à celles et ceux qui pratiquent régulièrement la liturgie des heures.
La guerre en Ukraine a mis au jour la forte implication de l’Église orthodoxe russe dans la justification politique du conflit. Méconnues en Europe occidentale, les interventions politiques et sociales des églises orthodoxes, tant au sein des Etats que dans les relations internationales, sont cependant fréquentes. Mais parce que le courant orthodoxe se caractérise par un foisonnement d’églises, parfois concurrentes, il peut être difficile d’y trouver quelques cohérences. Néanmoins, comme avec les autres courants spirituels, les autorités religieuses orthodoxes font usage de leur soft power pour peser sur les grands enjeux contemporains. Quels sont-ils du point de vue de l’Église orthodoxe ? Croisent-ils ceux de leurs sœurs chrétiennes ? Comment ce courant religieux gère-t-il ses relations avec les pouvoirs politiques ? Comment parvient-il à orienter les réflexions et les décisions des dirigeants ?
Le but de ce cours consistera, dans un premier temps, à décrire les particularismes et la situation actuelle des églises orthodoxes. Dans un second temps, on analysera quelques actions significatives, leurs motivations et leurs effets. Dans une troisième partie, on reviendra sur le cas particulier du patriarcat de Moscou et sur sa participation à la reconstruction du nationalisme russe.
Les conférences de l'IUSL : Table-ronde avec Marie-Jeanne Coutagne et le P. Hervé Chiaverini
Dans la Grèce antique, culture et religion sont étroitement imbriquées. En effet, qu’il s’agisse de concevoir l’origine de la femme, la monstruosité, la révolte contre le pouvoir ou le dépassement de soi, la pensée grecque est structurée par le religieux.
Les cours se proposent d’analyser différents mythes ou pratiques de la Grèce antique en les inscrivant dans leur contexte culturel et religieux. Cependant, il s’agira également de déplier toute leur richesse symbolique en soulignant l’évolution des interprétations au gré des sociétés qui s’en sont emparées. Ce sera donc l’occasion d’un voyage culturel dans le temps et dans les arts.
Le cours d’hébreu est proposé dans le cadre d’un cycle d’initiation. Il accueille, 2h par semaine, des étudiants débutants ou qui ont jusqu’à trois ans d’hébreu.
Les débutants apprendront l’alphabet hébreu, les principes de la lecture, l’écriture et quelques règles élémentaires.
Pour les étudiants plus avancés, nous partirons de l’observation de versets bibliques qui seront un moyen d’évaluer les connaissances grammaticales des étudiants, de réviser les fondamentaux. A chaque cours nous étudierons systématiquement un point de grammaire avec des exercices d’acquisitions à commencer en cours et à terminer à la maison.
La progression sera déterminée en fonction du niveau d’ensemble du groupe constitué.
Des courants néo jansénistes, inspirés par le pélagianisme (salut par ses propres forces) réapparaissent dans l’Eglise en France. Des interprétations néo gnostiques (le salut par le savoir) refont surface dans nos pays sécularisés, à la mesure de l’effondrement de la structuration mentale du christianisme. Entre ces idolâtries de la volonté et de l’intelligence, c’est sans doute le discernement de la raison qui est à convoquer pour percevoir l’action de la grâce.
Dans ce cours, nous nous mettrons en quête de repères, à partir de la tradition théologique et des grandes polémiques historiques sur la grâce.
Nous relirons les repères proposés par les lettres de Saint Paul. Nous traverserons l’histoire en nous penchant à nouveaux frais sur la discorde entre protestants et catholiques sur la grâce et les œuvres, de même que sur les documents récents d’entente interconfessionnelle. Puis nous réinterrogerons la tradition mystique afin d’honorer aujourd’hui, au XXIe siècle, la dimension de profondeur. Un théologien protestant conclura par les critères que propose la figure mariale.
Après une présentation des Psaumes, de leur histoire et de leur importance fondamentale dans la vie du Peuple de Dieu, à toutes les époques du christianisme et du judaïsme, nous prendrons le temps d’étudier plusieurs psaumes, particulièrement représentatifs et fréquemment utilisés dans la liturgie.
Un cours ouvert à tous, et qui peut être utile à celles et ceux qui pratiquent régulièrement la liturgie des heures.
La guerre en Ukraine a mis au jour la forte implication de l’Église orthodoxe russe dans la justification politique du conflit. Méconnues en Europe occidentale, les interventions politiques et sociales des églises orthodoxes, tant au sein des Etats que dans les relations internationales, sont cependant fréquentes. Mais parce que le courant orthodoxe se caractérise par un foisonnement d’églises, parfois concurrentes, il peut être difficile d’y trouver quelques cohérences. Néanmoins, comme avec les autres courants spirituels, les autorités religieuses orthodoxes font usage de leur soft power pour peser sur les grands enjeux contemporains. Quels sont-ils du point de vue de l’Église orthodoxe ? Croisent-ils ceux de leurs sœurs chrétiennes ? Comment ce courant religieux gère-t-il ses relations avec les pouvoirs politiques ? Comment parvient-il à orienter les réflexions et les décisions des dirigeants ?
Le but de ce cours consistera, dans un premier temps, à décrire les particularismes et la situation actuelle des églises orthodoxes. Dans un second temps, on analysera quelques actions significatives, leurs motivations et leurs effets. Dans une troisième partie, on reviendra sur le cas particulier du patriarcat de Moscou et sur sa participation à la reconstruction du nationalisme russe.
Le cours d’hébreu est proposé dans le cadre d’un cycle d’initiation. Il accueille, 2h par semaine, des étudiants débutants ou qui ont jusqu’à trois ans d’hébreu.
Les débutants apprendront l’alphabet hébreu, les principes de la lecture, l’écriture et quelques règles élémentaires.
Pour les étudiants plus avancés, nous partirons de l’observation de versets bibliques qui seront un moyen d’évaluer les connaissances grammaticales des étudiants, de réviser les fondamentaux. A chaque cours nous étudierons systématiquement un point de grammaire avec des exercices d’acquisitions à commencer en cours et à terminer à la maison.
La progression sera déterminée en fonction du niveau d’ensemble du groupe constitué.
Étudiez les philosophes chrétiens du XXe siècle: Ricoeur, Bruaire, Weil, et Marcel, à travers leurs œuvres majeures.
À travers ce cours, nous allons tenter de démontrer combien l’art n’est pas, au mieux un domaine annexe, et au pire un domaine étranger à la foi, mais un vecteur capital d’expression et de transmission de celle-ci.
L’opinion ne voyant dans l’art qu’une distraction ou un luxe considérera toujours comme arbitraire la sacralisation d’une image ou d’une église. Or, la Bible, si elle condamne les idoles imaginées par les hommes, affirme la possibilité d’un art divinement inspiré.
Nous examinerons le contenu et la forme de l’image, la possibilité des rencontres qu’elle permet avec la transcendance et la place de l’Imagination et de l’Inspiration.
Nous considérerons ensuite le rapport entre l’Art et la Foi et les liens qui s’établissent entre l’art et la théologie.
Puis, il sera temps de considérer les rapports qui existent entre l’art, l’Église et les artistes et de réfléchir aux enjeux de la création contemporaine dans les lieux de culte.
Nous clôturerons ce parcours en nous interrogeant sur le désir de l’homme d’habiter le monde et sur le rôle de l’architecture.
Des courants néo jansénistes, inspirés par le pélagianisme (salut par ses propres forces) réapparaissent dans l’Eglise en France. Des interprétations néo gnostiques (le salut par le savoir) refont surface dans nos pays sécularisés, à la mesure de l’effondrement de la structuration mentale du christianisme. Entre ces idolâtries de la volonté et de l’intelligence, c’est sans doute le discernement de la raison qui est à convoquer pour percevoir l’action de la grâce.
Dans ce cours, nous nous mettrons en quête de repères, à partir de la tradition théologique et des grandes polémiques historiques sur la grâce.
Nous relirons les repères proposés par les lettres de Saint Paul. Nous traverserons l’histoire en nous penchant à nouveaux frais sur la discorde entre protestants et catholiques sur la grâce et les œuvres, de même que sur les documents récents d’entente interconfessionnelle. Puis nous réinterrogerons la tradition mystique afin d’honorer aujourd’hui, au XXIe siècle, la dimension de profondeur. Un théologien protestant conclura par les critères que propose la figure mariale.
Le chamanisme, dans la variété des ses formes, nous attire et nous séduit. Il nous rappelle nos racines… desquelles nous nous sommes coupées en Occident.
Le chamanisme se présente comme une voie de reconnexion à la Nature. Il est aussi une technique d’élargissement de la conscience au moyen de substances psychédéliques, de la rythmique d’un tambour, ou de l’hyperventilation. Le chamane traditionnel voyage ainsi entre les mondes pour y rapporter des informations de guérison au bénéfice de sa collectivité ou d’individus. Le chamane traditionnel est donc aussi un thérapeute.
Mais qu’est-ce qu’apporte la cure chamanique aux thérapies conventionnelles ? En quel sens des plantes, absorbées au cours de diètes, peuvent-elles être considérées comme « enseignantes » ?
La pratique chamanique ouvre à des expériences « non ordinaires » voire « extraordinaires ». Le chamanisme est tout le contraire d’un repli sur soi : l’individu se trouve relié aux mondes animal, végétal, et aux esprits qui peuplent les arrière-mondes invisibles.
Qu’est-ce que les techniques issues du chamanisme apportent-elles à la psychothérapie lorsque ces deux domaines se rencontrent ? Et qu’est-ce que la transe chamanique a à dire aux neurosciences ?